ARASHI

Gin

Hello ARASHI, De tout cœur j'ai aimé le récit, sachant surtout que chez nous, entre les 2 Congo il ya une île appelé île maudite, interdite ... (On dit même que ceux qui y entre n'en ressorte plus jamais), le récit fait donc réaliste, seulement, les termes utilisés comme montres le rendent moins effrayant, vu que chez nous au Congo, tout ce qui est mystique, on ne dit pas souvent monstre (c'est faible, c'est pour les blancs), on dit NDOKI, ESPRIT, SORCIER ... Avec des termes réels utilisés de chez nous, l'oeuvre sera encore plus flippante. Aussi, je vous conseille de vous inspirer des KARACHIKA ou des histoires de Patrick Nguema Ndong, les récits reels sont toujours plus flippants que les fictions, ça peut aussi être une fiction mais avec un côté flippant plus prononcé.

11:00

J'aime cet archétype phare des histoires d'horreur : personnages intrépides au début, ils sont avertis du danger que recèle le lieu où ils s'en vont mais font fi de ça. Puis à la fin, ils se rendent compte que les avertissements étaient fondés mais il se fait trop tard. Je kiff. Je ne regrette pas le personnage de Cécile, le guide lui, est mort injustement. Je ne sais pas si c'est un one-shot, mais si c'est une histoire à développer, Lunkamba et Nadine pourraient avoir un meilleur développement, je les aime bien. Les décors sont bien exécutés, mais le contenu des dialogues est à revoir sérieusement.

11:00